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28 décembre 2011

La pluie de couteaux chap.3

Je monte dans ma voiture et je m'en vais. Je n'arrive plus à m'enlever l'histoire du cheval noir dans la tête. Il était tellement beau, je ne comprend pas. Bref, je rentre chez moi puis je me prépare un café.En attendant je zape ma petite télé. J'attend le landemain. La je me réveille de sursaut le matin je m'habille le plus vite possible et enfile ma veste. Je prend les clefs de ma voiture et je descend les escaliers comme une folle. Je démarre la voiture et je vais aller voir la ferme. La je vois le camion de l'abbaoire rouler, rouler... Je monte dans ma voiture et je suis le camion. Arrivé à l'abbatoir je me gare puis je cours vers l'homme qui tirais le cheval. Et le, je lui dis: " Monsieu, monsieu, vous allez envoyer se cheval à l'abatoire?

-Oui pourquoi?

Inconscienment je demande:

-Je veux le prendre!

- Ok si vous voulez, mais c'est pas un truc à prendre à la légère!

-Je m'en fiche je le prend."

Alors il me donne la laisse du licole. Je prend le cheval, et vu que je suis dans une camionette(mon frère me l'a preter) il s'allonge dedans. Bon c'est pas le luxe mais je dois m'y contenter pour le moment. J'atache le licole à une poignet solide. Mais sérieusment, il n'avait pas bouger. Il était trop fatiger? Aucune idée. Je roule jusqu'a la forêt. Oui, oui j'ai un deuxième logement.

lle est en bois. Avant mon grand-père se logeais ici pendant les vacances. Je le décide de laisser ici... Dans la maison de bois il y avait une lampe à peine éclaré. Et un four à l'ancienne. Je nettoyais tout je mettais le lit en place et je mes le cheval dans l'enclos à vache.

 

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27 décembre 2011

La pluie de couteaux chap.2

Donc, j'attend sur mon carton. La pluie continuait à couler. La je vois un enfant trempé jusqu'au eau. Il s'approche et me dit :

" On vous attend."

Alors je me lève et la, il me tien la main et me guide. Je le regard d'un aire triste et je le laisse me guider. La j'arrive devant la maison. Par la fenêtre je vois le mari gros, assis sur une chaise en train de s'empifrer de vin et de cuisse de porc. Il avait des miette partout. Sa femme était avec son balai. Elle poussait la pousière vers la deuxième porte qui va en direction du jardin. Elle entre dans la maison et un chien la regardait de derrière avant de gronger comme une machine à lavé. Donc, j'ouvre la porte et je m'assoie sur une chaise devant le marie:

"Bonjour.

-Eu...B..bonjour...

-Alors?

-M. Johé, votre entreprise est en train de..de cou,couler...

-Quoi?! Il frappat la table d'une grande force.

-Nous ne pouvons rien faire si vous voulez continuer votre entreprise de meuble, vous avez besoin de 1 000 000 €. Se que vous n'avez pas à mon avis. Vous devez faire quelque chose... 

-Bon et bien on n'a pas le choix. On va vendre notre cheval à l'abbatoire Mlle Clarais!" Là, j'était juste choqué. Je me lève et son enfant me raporte jusqu'a la porte. J'était un peu strésser. Le petit bou de chou me tire par la main comme tout à l'heure. Il eppart dans sa maison et je regardais le cheval noir. C'était la fin de se belle animal....

27 décembre 2011

La pluie de couteaux chap.1

Il pleuvait dans la région, il pleuvait des cordes. Les moutons était "dégonflés", leurs laines descendais comme des files. Sa fesait des éspèces de nattes. Les poules ne bougeais pas, ne criais pas. Leurs plumes était collé de boue, on voyait bien qu'elles était maigres comme des épingles, derrière leurs plumages. Les vaches marchaient dans leurs propre dégection, c'était dégoutant. Je ne pouvais plus continuer le chemin, je croyais que je me dégouterais encore plus. Alors je vais sous un arbre, et j'attend sous la pluie. Je prend un carton sec et je m'assois dessus. Là, je me retourne et je vois une silouhette noir. Je vois des oreilles pointu, une tête alongé, J'arrive à appercevoir la bosse des naseaux, des pattes en triangles allongé et au milieu du "triangle" une boule. La je ne pouvais plus me tromper, c'était bien un cheval. Je m'approche et sa devient plus net. La je vois un magnifique cheval noir avec une balezan sur sa patte gauche avant. Il était si beau que tout le monde pourrais tomber sous son charme. Mais sous sa beauté se cachait une vrai tristesse. Il a des blessures partout et il est maigre comme les autres bêtes que j'ai croisé. Il était attaché à une poutre et était entouré de mouche. Il mangeais une touffe d'herbe. Rien de plus. Je l'ai approché doucement, il n'a pas bouger. Alors j'était sur que je pouvais le toucher. Je m'approche encore et la je lui caresse doucement le chanfrein. Je reviens m'assoire sur ma boîte de carton et j'attend que le fermier ou bien sa femme viennent m'héberger. J'attends sous la pluie.

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